Ailleurs, quelque part ....
Voyage en photos, loin d'ici ou pas très loin, ça dépend des jours et des envies. Photos disponibles à la demande ... Bon voyage.
Pendant la cérémonie, le service d'ordre est parfois perturbé par quelques imprévus ...
En général, ça fait sourire.
Les chefs indiens avaient des parures avec beaucoup de plumes. Signe de puissance et de pouvoir ?
Peut être est ce aussi le cas chez les Bamouns, peut être pas. En tous les cas, tout le monde n'a pas le même nombre de plumes, peut être que ça ne veut rien dire finalement ...
A chacun son chapeau, point barre.
Trophé de guerre .... Casque à pointe datant un petit peu ...
C'est l'occasion en tous les cas de sortir les plus beaux apparats, et celui-là il est particulièrement enviable, c'était le seul de cet acabis ...
Petite pause dans le défilé du Nguon, plus de parures, plus de chapeau, plus de fusil, un peu de neige, pour se rappeler que cela existe. Ailleurs, quelque part, le thermomètre s'envole toujours, vers des sommets, alors se rappeler que le Mont Blanc existe rassure parfois un peu.
Au dessus de la mer de Glace vers la pointe Helbroner, le spectacle est tout simplement à vous couper le soufle, perché que vous êtes dans un "oeuf" à plus de 3000 mètres ... Et le Mont Blanc veille.
Le Nguon c'est un festival de couleurs et de costumes traditionnels, le couvre-chef ayant particulièrement beaucoup d'importance et de variétés. Le Ministre de la Défense (si j'ai bien suivi ce jour là) était particulièrement beau avec un chapeau tout de plumes.
Son fusil est chargé....
Porter à bout de bras ces grandes cornes de brume, ça fatigue un peu semble t il, surtout sous le caniar ...
Le gars-là était vraiment cuit.
Elles sont tellement longues ces cornes de brumes, qu'il est difficile d'en photographier les deux bouts. Alors il faudra se contenter d'un petit bout.
Elles aussi annoncent des arrivées remarquables ...
Le Nguon c'est ça aussi, beaucoup de musiques, parsemé de ci de là de nombreux coup de fusils qui font parler la poudre.
Certes, ce n'est pas vraiment un biniou, mais par contre le son qui en sort n'en est pas loin et cela à l'air aussi difficile d'en faire échapper un son digne de ce nom ...
Chacun son rôle donc, le sien ressemblait à celui du chef d'orchestre. Mais peut être était il responsable du protocole ?
Ce qui est sur c'est que ce qu'il tient en main c'est un instrument de musique.
Chacun a son rôle lors de la fête du Nguon, le sien doit être d'acceuillir les personnalités avec un intrument proche de l'accordéon sans les touches.
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