L'ikopa, vaste bac à sable ... Méthode artisanale en petite pirogue mais efficace. Et pendant ce temps, les cyclones passent, frolent, ou traversent l'île. Not good.
Ailleurs, quelque part ....
Voyage en photos, loin d'ici ou pas très loin, ça dépend des jours et des envies. Photos disponibles à la demande ... Bon voyage.
L'ikopa, vaste bac à sable ... Méthode artisanale en petite pirogue mais efficace. Et pendant ce temps, les cyclones passent, frolent, ou traversent l'île. Not good.
Ciel lourd, nuages énormes, ça monte doucement mais surement et puis soudain tout s'obscurcie, le ciel se crève, et le déluge se libère.
Etre à l'abri dans une heure, c'est tout ce qu'il y a à faire, pour ceux qui peuvent s'y mettre ...
Du riz, pleins de riz, différentes couleurs, différentes formes, PPN numéro 1 de Madagascar, on ne rigole pas avec sa disponibilité, sauf si l'on veut vraiment une émeute, là, il faut pas hésiter, la révolution peut se faire si il n'y a pas de riz, sinon, pas de raison de la faire, même si il y a deux présidents en même temps ...
PPN ? Produit de première nécessité.
Rien de mieux qu'un trottoir de Tana pour faire sécher la récolte de riz ...
Le bord des routes aussi est assez prisé.
N13, entre Ihosa et Fort Dauphin, au petit matin, grands espaces déserts traversés à 25 km/h de moyenne pendant 2 jours. Cela laisse des traces inoubliables au fond du cerveau. En saison des pluies, on oublie ... Parait il que le bitumage est en cours ...
Quelque part, dans des rizières, deux petites filles qui passent.
Pendant ce temps, les forçats des champs s'activent aussi ...
Tana, route "digue", qui porte bien son nom, rizière à gauche, rivière à droite ou vice-versa ... Au fond, sur la colline, la "haute" ville. L'homme au chapeau passait par là, marchait sans fin, comme beaucoup de gens à Madagascar.
Saison des cyclones, saison de l'eau, saison des sinistrés.
Petite maison qui pèse pas lourd si pour sauver la ville il faut faire céder la digue et remplir ces vastes plaines où pousse le riz ...
A Waza, il est difficile de rater les girafes. Elles dépassent un peu des broussailles. ce devrait être pareil avec les éléphants, mais sans doute y en a t il moins ? Malgré l'harmattan, malgré les herbes hautes, elles étaient belle et bien là.
Monsieur Girafe était un peu inquiet lui:
Sans doute faisait il diversion pour laisser Madame se sauver à grandes enjambées:
Tout est possible avec une bensikin, y compris de la transformer en frigo. Juste rajouter deux glacières et le tour est joué. Qu'est ce qu'il y avait dedans ? Grand mystère. Mais à chaque trou, de l'eau coulait tant qu'elle pouvait de ces deux malheureuse glacières ....
Quelque part entre Pouss et Maga, loin là-haut dans le Nord Cameroun ...