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Voyage en photos, loin d'ici ou pas très loin, ça dépend des jours et des envies. Photos disponibles à la demande ... Bon voyage.

 

7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 09:40

C'est presque du luxe, ça, de déjeuner en paix, sans le bruit du monde qui nous assaille de partout. Comment ne pas tomber en grosse déprime quand on entend soir et matin, matin et soir, que tout va mal ? Alors effectivement, peut être qu'il est temps à nouveau, de se jeter à l'eau, et de déjeuner en paix plus souvent ...


ça ne ralentira pas la course folle du monde, mais peut être que l'on dormira mieux quand même. 
(pour écouter la vidéo, mettez "deezer", en bas à gauche de cette page, sur pause ...)
10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 08:41

Il y a des images que l'on associe à des paroles, et celle-ci, ce matin, comme un flash, m'a fait penser à la chanson de Barbara.

ILE-DE-BREHAT 1441

 

"Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,
Voilà combien de temps que tu es reparti
Tu m'as dit: "Cette fois, c'est le dernier voyage"
Pour nos coeurs déchirés, c'est le dernier naufrage
"Au printemps, tu verras, je serai de retour
Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris
Et déambulerons dans les rues de Paris!"

REFRAIN:
Dis, quand reviendras-tu?
Dis, au moins le sais-tu
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère...
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus!

Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois
À voir Paris si beau en cette fin d'automne
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne
Ton image me hante, je te parle tout bas
Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi

REFRAIN

J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours
J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour
Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir
Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs
Je reprendrai la route, le monde m'émerveille
J'irai me réchauffer à un autre soleil
Je ne suis pas de ceux qui meurent de chagrin
Je n'ai pas la vertu des femmes de marins

REFRAIN

 

ILE-DE-BREHAT 1442

5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 22:39

Ben voilà, rien à voir avec Fukujima, mais c'est le principe ici, aucun rapport d'un jour à l'autre ! Ben, juste pour dire que Zebda est en tournée, sort un album début 2012, et ... compte bien se faire entendre début 2012 pour rappeler deux trois trucs à propos de la France des banlieues sans doute. En hors d'oeuvre, lisez le livre de Magyd Cherfi, "Livret de famille" ou "La trempe". ça met tout de suite dans l'ambiance .... Et quand, en écrivant sur ce blog, en plus j'ai "le manouche" dans les oreilles, bon, ben, y a plus rien à dire, à part de courir chercher des places si il en reste.

21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 07:00
Il en a plein son répertoire, elles ne datent pas d'hier, c'est vrai, mais elles résonnent quand même encore avec un timbre parfois trop actuel.

"Elle est à toi cette chanson
Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'as donné quatre bouts de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez
Ce n'était rien qu'un feu de bois
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un feu de joie

Toi l'Auvergnat quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel

Elle est à toi cette chanson
Toi l'hôtesse qui sans façon
M'as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
S'amusaient à me voir jeûner
Ce n'était rien qu'un peu de pain
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un grand festin

Toi l'hôtesse quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel

Elle est à toi cette chanson
Toi l'étranger qui sans façon
D'un air malheureux m'as souri
Lorsque les gendarmes m'ont pris
Toi qui n'as pas applaudi quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
Riaient de me voir emmener
Ce n'était rien qu'un peu de miel
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un grand soleil

Toi l'étranger quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel"

G.Brassens
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 08:01
Bercy, 12 juin 2008. Trois heures de concert non stop, il a réussi à fatiguer une partie du public qui voulait aller se coucher quand l'autre continuait à sauter dans tous les sens ... Superbe concert, avec la Radio Bemba, avec l'ancien bateur de la Mano qui a pu chanter son morceau fétiche (dont j'ai oublié le tître, mais qui finit par "bibi"). Salle comble toute acquise à sa cause, musicale en tous cas, politique aussi un peu quand il parle de "W" ou de "Sarko" ... Et puis voilà, Paris c'est fini, d'autres concerts ailleurs en France, et franchement, si vous pouvez allez y ... Et la rumba de Barcelona pourra continuer à vivre un peu.
1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 15:42

Ben pour commencer l'année, vous achetez le DVD, et vous vous calez bien, et puis voilà, l'année peut pas commencer mieux. On se laisse emporter par ce magicien des mots qui est impressionnant d'énergie, de poésie, d'amour. Si il passe pas loin de chez vous alors vous ne savez pas votre chance ! Et vous ne devriez pas vous demander ce que vous faites ce soir-là ... Vous me croyez peut être pas. Alors, une fois n'est pas coutume, vous me direz si cette chanson ce n'est pas de l'or.

Je t’aime telle
Telle que t’es
J’t’aime telle
Tellement tu sais
Tellement tu sais si bien
D’un sourire ou d’un geste plein de grâce
Eloigner les angoisses
De la nuit qui s’efface
Devant le jour qui vient 

J’t aime telle

J’t aime telle que t es

J’t aime telle

Tellement tu vois

Tellement tu vois que même

Si mon destin m entraîne

Souvent trop loin

Je suis toujours à toi

Relié par les antennes

De notre amour serein

 

Rien ne s’oppose à ton désir

D’offrir à la vie toutes les chances

De s’épanouir en libérant

Les forces vives et les élans

De ton énergie flamboyante

Le rock te colle à la peau

La rage au cœur le diable au corps

Les ailes qui te poussent dans le dos

T’aideront à prendre ton envol

 

Je t aime telle

Telle que t’es

J’t’aime telle

Tellement tu sais

Tellement tu sais si bien

D’un sourire ou d’un geste plein de grâce

Apaiser mes colères

Et d’un sourire divin

Ensoleiller mon cœur

 

T’as pris quelques longueurs d’avance

Sur tes devoirs d adolescence

Et j’vois fleurir une si belle plante

Qu’à cette heure je me demande

Qu’est ce que j’vais devenir sans elle

Le rock te colle à la peau

La rage au cœur le diable au corps

T as le feu dans l’âme et les os

Ta voix est claire comme un flambeau

J’t’aime telle

J’t’aime telle que t es

J’t’aime telle

Tellement tu sais

Mon enfant mon Amour

Et voilà 2008 qui a donc démarré, peut être se terminera t elle mieux que 2007, toujours est il que la commencer par des paroles d'amour ne peut pas faire de mal à ce monde qui ne tourne décidément pas rond. Cette chanson est de son dernier album "Amor Doloroso", que l'on retrouve sur le CD et le DVD du Bataclan. Tout est dit, vous n'avez plus d'excuses.

23 décembre 2006 6 23 /12 /décembre /2006 04:56

Porter à bout de bras ces grandes cornes de brume, ça fatigue un peu semble t il, surtout sous le caniar ...

Le gars-là était vraiment cuit.

21 décembre 2006 4 21 /12 /décembre /2006 04:37

Certes, ce n'est pas vraiment un biniou, mais par contre le son qui en sort n'en est pas loin et cela à l'air aussi difficile d'en faire échapper un son digne de ce nom ...

 

 

27 mai 2006 6 27 /05 /mai /2006 07:38

La musique de Femi Kuti, il est difficile de la mettre en photos, surtout quand on n’est pas au Nigéria... Nigéria, pays le plus peuplé d’Afrique, anglophone, avec certains états appliquant la charia, d’autres états étant de confession chrétienne. Cocktail... Femi a repris le flambeau de son père Fela, mort en 1997. "The black president" maniait le verbe avec une force imposant le respect quand on sait qu’il faisait cela au milieu d’une dictature militaire. Lavilliers dans «Noir et Blanc » a célébré son courage et la force de sa musique. Plusieurs fois emprisonné et torturé, sa mère défenestrée, il a payé cher son engagement.

Femi son fils, a repris le flambeau, pour transmettre ces messages dénonçant un certain nombre d’abus des politiciens de son pays. Donc cette musique, d’ailleurs, il faut l’entendre, l’imaginer s’exprimer au Shrine de Lagos les soirs de concert de Fémi, mais qui ne vont pas au-delà de 22h pour que chacun puisse rentrer sereinement chez soi. A la question de savoir si il y avait déjà été, un ami vivant à Lagos, (13 millions d'habitants) m’a répondu que la salle était en dehors de sa zone de vie, donc pas possible d’y aller by night. C’était juste pour illustrer le propos, vu que je n’ai pas de photos. Mais le pays fascine, mais pas de photos pour ce jour, mais de la musique a écouté si possible fort. Pour mieux comprendre, un DVD, « Live at the Shrine », CD et DVD dans la même pochette aux éditions MK2, une pure merveille. Et pour finir, un documentaire sur Fela, tourné il y a bien longtemps, 1982, à Lagos, en pleine dictature, que l’on peut aussi trouver dans un bestof de Fela paru en semi-coffret, 2 CDs plus 1 DVD.

Après cela, vous ne pourrez plus regarder ce pays de la même façon, ni écouter cette musique sans prendre les paroles en pleine tête et réfléchir sur ce que peut être un engagement politique pour son pays. Pour les photos, ben faudra attendre un peu, un hypothétique voyage à Lagos, alors ….. Désolé.

20 mai 2006 6 20 /05 /mai /2006 09:25

Il pleuvait fort, sur la grand route , .... (Brassens vol. 1).  L'orage passe sur Kribi, mais ici, le parapluie, on s'en passe. Face à la mer, au coucher du soleil, pluie ou pas, ça dérange pas grand monde. Juste on regarde les derniers rayons disparaitres, la nuit venir. Le banc est quand même tristement vide. Dommage.

Parce qu'on aurait pu facilement siffloter la ballade des amoureux qui se bécotent sur les bancs publics (Brassens vol. 2) , mais là ce serait plutôt la supplique pour être enterré à la plage de Sète ... (Brassens vol.9). Retrouvez toute cette atmosphère avec les amis de Georges...