Etre paisible, savoir s'allonger sur le sable, à l'ombre et attendre que le temps passe. Attendre que le soleil nous aveugle moins, que les soucis s'estompent au gré du temps qui s'égrène, et puis c'est tout.

Peut être est ce la force des enfants, plus que celle des adultes. Peut être pas tous les enfants, c'est vrai. Mais plus que les adultes quand même.

Express de Madagascar, ce matin, , "La Malagasy Cup est endeuillé par la fin tragique d'Anne Van Boxel, son initiatrice, tuée accidentellement par Olivier Delpierre, son compagnon et co-organisateur". Quoi dire ? colère et consternation. Anne était une amie. Ce n'est pas le lieu pour en parler pourtant, alors je n'en parlerais pas. Pourquoi faut il donc que le monde soit si fou ? Et pendant ce temps, la Malagasy Cup continue. Effectivement,  chaque participant a payé un peu beaucoup, alors, la vie continue, pas de raisons qu'elle s'arrête. Mais l'itinéraire est modifié. Un hommage sans doute ? Colère oui. Tristesse devant ce gachis. On aimerait être plus proche dans ces moments-là et pas perdu quelque part en Chine. On s'en veut de n'avoir rien vu, et de pas avoir pu la protéger. La vie n'est pas belle today.

Une plage quelque part, un fils apprend de son père. Bon, c'est une hypothèse, peut être rien à voir. Mais rien d'impossible dans cette théorie.



De la fierté là aussi, dans le regard et le geste



Rien à ajouter.

Pas grand chose à dire, des ciels purs comme ça, ben y en a pas à Douala, mais y a que ça à Madagascar, des ciels magiques. Certains diront qu'il y en a marre des couchers de soleil, ben peut être, mais y a que là qu'il y a de si belles couleurs. Alors tant que y aura des soleils, y aura des couchers de soleil, faut faire avec ...

Il y a eu plusieurs Guinée Equatoriale déjà. Celle d'avant l'indépendance, celle d'avant le pétrole, celle du pétrole, et il y aura celle de l'après pétrole. Et bien d'autres encore pendant ces périodes-là. L'ONU a réussi à imposer à Franco le grand démocrate de donner son indépendance à ce petit pays de 250 000 habitants et sur la base d'une consitution démocratique. Sauf que ça n'a pas marché, le premier président Franscisco Macias Nguema était fou. Alors son neveu Teodoro Obiang Nguema l'a dégagé un beau matin d'août 1979, devenant, "El Libertador"



ça, c'est le graphe de la population de Guinée Equatoriale, d'après la FAO. C'est vrai que le coup d'état de 79 a eu l'air d'avoir un effet positif tout de même ...

Donc, voilà, à Malabo, régne un grand homme, réélu 3 fois à plus de 97% des voix, en 1989 c'était même 99,99%, et ce grand homme travaille beaucoup pour son pays.



Que ceux qui doutent aillent y jeter un coup d'oeil, si ils arrivent à avoir un visa évidemment.