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Voyage en photos, loin d'ici ou pas très loin, ça dépend des jours et des envies. Photos disponibles à la demande ... Bon voyage.

 

25 juin 2006 7 25 /06 /juin /2006 07:52

Hier tempête, le soir coucher de soleil. Moins de risques de coconut. Là, ce sont les moustiques et le palu plutôt ...

C'est où ? Sous les cocotiers, à Kribi, toujours.

24 juin 2006 6 24 /06 /juin /2006 07:50

Après une journée de daube, regarder un ciel d'orage ça apaise ... Y a quand même un truc qui peut stresser c'est d'imaginer la chute de la coconut de tout là-haut sur ma tête toute petite. ça ça peut faire mal effectivement, et j'avoue que cela m'a traversé l'esprit pendant le "clic".

En tous cas, quand les éléments se déchainent, surtout si y a du vent, alors, si en plus nous sommes au bord de la mer, alors .... pfou .... cela devent magique.

23 juin 2006 5 23 /06 /juin /2006 07:48

 What to say ? Je crois que c'était la première fois que je voyais un arc en ciel complet, et que c'est aussi la première fois que je le mettais dans la boite. Encore Kribi, sur le "port" ... C'était fort sympathique comme moment, en fait, tranquille à la Marina, à siroter un cocktail. Comme quoi y a aussi des bons moments par ici pour ceux qui en douteraient ....

22 juin 2006 4 22 /06 /juin /2006 07:46

La Lobé se jette dans la mer, directement, sans sourciller. Elles font petites comme cela, j'en conviens, mais bon, un oeil averti remarquera la petite pirogue qui se promène en bas à gauche donc bon, elles doivent quand même faire dans les 20/25 mètres. Certes on est loin des chutes d'Ekom, mais bon, à Ekom, elles se jetent pas dans la mer, et oui, ça change tout quand même !

 

C'est où la Lobé ? Kribi, Cameroun.

3 juin 2006 6 03 /06 /juin /2006 17:46

Ballade à pied sur le côté du canal donnant sur la mer. Sur ce côté entre mer et canal, une bande de terre, pas très large, disons 300 mètres, sur laquelle passe une voie ferrée. La fameuse Tana Tamatave dont j'ai déjà un peu parlé mais dont je reparlerais très bientot.

Et donc sur cette partie du monde isolée de tout, une magie particulière a surgi de ce filet qui était mis à sécher, et, le soir l'éclairage particulier donnait une lumière incroyable. Les photos ne peuvent pas toujours rendrent la grâce d'un instant, surtout quand cet instant surgi de nulle part (bon des fois c'est aussi le photographe qui est mauvais, je suis d'accord).

 

En tous cas, même si la photo ne restitue pas la magie de cet instant, il n'empêche que ce moment de lumière était extraordinaire. Voilà tout.

 

 

31 mai 2006 3 31 /05 /mai /2006 21:29

Une lumière étrange était présente ce soir-là sur Manambato, lac artificiel créé par le canal des Pangalanes.  Quelque chose d'un peu surnaturel.

Et puis le ciel s'est embrasé ....

Et ce fût la nuit. Bonne nuit.

30 mai 2006 2 30 /05 /mai /2006 07:40

Quand le soleil se lève …. La lumière fait qu’une photo est belle ou non. C’est aussi elle qui fait qu’un paysage est beau ou pas, trop de lumière écrase les contrastes et les tons, pas assez et c’est la nuit.

Aube sur la presqu’ile de Pleubian, le soleil pointe ses premiers rayons sur le sillon du Talbert, le froid est là, vif, mais le spectacle aussi. On pense à ces gardiens de phares des Héaux de Bréhat, phare le plus haut de France (de mémoire), qui devait admirer les spectacles les plus beaux, mais parfois les plus inquiétant qui soient si l’on repense à cette photo magique du gardien du phare de la Jument ouvrant la porte de son phare tandis qu’autour de lui tout n’est qu’écume.

 

Un autre monde, une autre époque, tous les phares sont désormais automatiques. Automatisation sans défaut, espérons que c’est le cas, pour ceux qui affronteront brouillards ou tempêtes dans ces mers qui peuvent être parfois hostiles ..

28 mai 2006 7 28 /05 /mai /2006 07:35

Nosy be ... Comme Diégo, on pourrait en parler un bon moment. Quasiment avec les mêmes sujets, en remplaçant le pain de sucre, par les plages, les filles, euh, par les filles, et le vent, euh, y en a pas, alors disons que le vent on le remplacerait par les touristes, y en a tellement, que ça en devient pénible, contrairement au vent ...

Dimanche ... C'était aussi un dimanche, en 2004, il pleuvait fort, la fourdre était déjà tombée sur ce piton où nous étions juchés, mais tout n'était pas fini....

Ce bateau, minuscule, vulnérable devait s'interroger lourdement sur la bonne raison qui l'avait conduit à cet endroit. Mauvais endroit au mauvais moment.... Et pourtant, ce n'est surement que leur réalité quotidienne, affronter les éléments, quelque soit le jour, quelque soit le temps.

Ce jour-là, en plan plus large, cela donnait aussi cela. Au fond, la grande Ile, vers Ambanja. Pas de quoi mettre un bateau dehors. Mais si le bateau coule, qui en parlera ? Qui a entendu parler de ce bateau pleins de comoriens qui sombra en 2004 au passage de Gafilo au large de Majanga, alors qu'il se rendait au Comores juste avant l'arrivée du cyclone ? Who did care about it ?

10 mai 2006 3 10 /05 /mai /2006 18:01

Monsireigne, c'est où ça ? Dans quel coin exotique ? Cameroun ? Madagascar ? Italie peut être ? Perdu ... Vendée. Et dans ce joli coin, il peut y faire drolement froid.

Ce jour-là, moins 5°, descente verglacée, soleil levant, la Gare se réveille engourdie.

Et cet été, le bitume sera devenu tout mou, les ronces livreront leurs mures à ceux qui auront le courage d'aller les chercher.

Si certains veulent en savoir plus sur l'histoire de la Vendée, il y a eu bien sur les Guerres de Vendée, qui méritent qu'on s'y attarde un peu.

Et pour les bouts du monde en Vendée, rien ne vaut l'ile d'Yeu .... Des photos, un jour, promis.

 

 

 

 

9 mai 2006 2 09 /05 /mai /2006 14:37

2005 - Pour alimenter ce site et faire en sorte qu'il reste et qu'il ait une chance d'être visité, il faut l'alimenter. Solution: un commentaire par jour, d'une photo de l'album.

Ces rizières sont en périphérie de Tana. Les rizières, à Madagascar, cest un spectacle somptueux, varié, chaque saison ayant sa particularité, vert flashi, récolte à la main, ou plantation aussi à la main. Travail pénible de la terre. Ce jour-là, travail oblige, je prie l'hélicoptère pour aller à 60km de Tana, dans la région d'Ampéfy. Le spectacle vu du ciel est bien entendu extraordinaire et unique. Quelques photos, mais ce n'était pas l'objet du vol, celle-ci a été prise au travers du plastique de la "bulle" de pilotage.

C'était en janvier / février, en saison des pluies déjà bien avancée, et la hauteur des eaux était déjà intéressante. Sa couleur marron ne trompe pas.

 Comme c'est le début, et pour ne pas répéter deux fois la même chose, ce coup-ci ce sera 2  photos d'un coup, le thème étant le même, cela n'a pas trop d'importance je suppose.

L'Ikopa débordait déjà, mais la puissance des digues de la plaine de Tana la maintenait encore dans son lit. Cette année-là, elle n'en sortit pas.

Chaque saison des pluies est extrèmement délicate à Tana. Inondation des bas-quartiers, inondations des rizières. Une saison un peu plus humide que d'habitude et c'est le chaos, avec son flot de malheur et de tristesse.

2004 avait vu le passage de Gafilo, cyclone d'une puissance méconnue depuis 50 ans dans l'océan indien, rafales de vent dépassant les 300km/h, 325 km/h le 6 mars 2004 à 18h UTC, mais 2005 ne fut pas en reste dans le Sud Ouest. Une année sans cyclone frappant la grande île, cela n'existe pas, seule la puissance change.