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Voyage en photos, loin d'ici ou pas très loin, ça dépend des jours et des envies. Photos disponibles à la demande ... Bon voyage.

 

31 juillet 2006 1 31 /07 /juillet /2006 09:16

Dernière image de Sainte Marie, la série n'est pas inépuisable, il faudrait y retourner ... Quoiqu'en cherchant bien ... En face du Vohilava, à siroter des punchs, pendant que le soleil disparait sur la grande Terre, paisible ...

Les pêcheurs guettent les poissons sur la barrière, juste derrière. Pendant ce temps au même moment, à la même saison, il pleut des cordes sur Douala, le temps est gris de chez gris, et les piscines débordent. Bientot elles seront vertes. Et pendant ce temps, à 50 km de Douala, il ne pleut pas. Ainsi va la saison des pluies au Cameroun. Donc, autant aller à Sainte Marie en juillet / août, mais ça, on le savait déjà ...

30 juillet 2006 7 30 /07 /juillet /2006 07:15

Toujours dans ce petit coin perdu de l'Océan Indien, cet ilôt accessible en bateau seulement, au bout du bout de l'île de Sainte Marie ... La pêche reste l'activité reine, avec le tourisme qui se développe petit à petit. Je ne vous parlerais pas des inconvénients liés aux moustiques car la psychose s'installe alors. J'ai rencontré il y a peu à Douala une personne qui montait presque sur sa chaise dès qu'elle voyait un moustique virevolté dans l'air. Certes il y a du palu à Douala et il est dangereux, mais tout de même. Car cette même personne n'avait pas jugé bon de s'inquiéter des moustiques lors de son passage à Antananarivo, alors que le palu y est aussi très présent. Juste faire normalement attention quoi ...

En tous cas là, point de moustiques, rien que la beauté, point de stress.

29 juillet 2006 6 29 /07 /juillet /2006 09:08

Mais pas le Zanzibar Tanzanie, le Zanzibar Sainte Marie. Pour le Tanzanie, il faudra attendre que j'y mettes les pieds. Le Zanzibar est une annexe du Vohilava sur l'ilot Nattes. Y a t il un Paradis au delà du Paradis ? En tous les cas, superbe endroit, désert comme j'aime, beau comme on en fait plus, et paisible paisible. Bon ça manquait de vent et de vagues pour mon gout de planchiste, mais ça, à part Guincho, y a plus grand chose qui m'émeuve maintenant ... Mais ça, c'est une autre histoire !

Carte postale, comme souvent sur cette île superbe.

28 juillet 2006 5 28 /07 /juillet /2006 09:12

Paradise has a name ... Sainte Marie. Je disais hier que le Princesse Bora était plus JetSet, mais bon, c'est aussi un des plus beaux, si ce n'est le plus bel hotel de l'île. Le temps était gris, comme "parfois" il arrive à Sainte Marie, les baleines batifolaient quand même, mais personne sur les transats sur le ponton ...

Il manquait juste une baleine balançant un high jump et la photo aurait été top. Une autre fois.

27 juillet 2006 4 27 /07 /juillet /2006 09:05

La saison est revenue ... Juillet les baleines reviennent à Sainte Marie, et là, spectacle étourdissant. Il y en a tellement qu'on les "chope" par hasard ... La photo ci dessous, je visais les pécheuses du lagon et par hasard, au fond, j'ai attrapé le jet d'une baleine. J'aurais voulu, je n'aurais pas réussi.

La photo est prise en face l'hotel l'hotel le Vohilava, le top du top en matière d'accueil, de gentillesse, et d'ambiance. Bon, il y a aussi le Princesse Bora, mais là, c'est plutôt Jetset, mais ça le fait très bien aussi. Et puis pour les baleines, sortie tous les jours, avec explications, écoute du chant des baleines, du bonheur en barre ...

26 juillet 2006 3 26 /07 /juillet /2006 09:16

La 2cv d'hier, elle était déjà pas mal. Le fait de réussir un tel chargement, déjà, c'est un exploit en soit. Après il faut le faire tenir sur la route aussi. Mais il y a aussi le pousse-pousse qui est très utilisé à Mada, pour tout transporter, du bois, des bidons d'essence, du riz, des briques, des légumes, une personne qui tire et deux qui poussent.

Je ne vais pas dire que transporter des matelas c'est quand même cool, car vu le volume, il doit autant bedasser que celui qui tire 300kg de riz. On m'avait dit que ces personnes ne possèdent pas leurs charettes, ils la louent, à la journée, et ils doivent donc la rentabiliser tous les jours ... J'ai lu un livre il y a peu, où l'auteur s'étonnait auprès d'un jeune indien de la jeunesse des tireurs de pousse-pousse en Inde. "On ne vit pas vieux dans ce métier-là" fût la réponse, qui calma toute envie d'en poser une autre.

25 juillet 2006 2 25 /07 /juillet /2006 08:56

On est toujours un peu surpris par les chargements de véhicules ou de charettes que l'on peut croiser dans les rues de Tana. Ce n'est pas spécifique à Madagascar ceci dit, le Cameroun se défend bien aussi, avec des troncs d'arbres ce qui parfois n'est pas mieux en terme de risques ! Se prendre un matelas sur la tronche finalement c'est un peu moins dur qu'une grume...

Ceci dit, des hauteurs pareilles, sur une 2CV, ça, j'avais pas encore vu.

 

24 juillet 2006 1 24 /07 /juillet /2006 07:44

Hier c'était les restes, ce matin il n'y a plus rien ... Juste un peu de verdures dans les ravines, rien de plus.

C'était donc la forêt malgache ... Dans l'Est il en reste un peu plus, il faut le reconnaitre, ceci dit elle est tout autant en danger, pression démographique aidant.

23 juillet 2006 7 23 /07 /juillet /2006 06:28

Un petit bout de forêt coincé au fond d'une ravine ... Ce petit bout de forêt fait parti des 50 hectares d'un parc national entre Tana et Mahajanga, qu'une équipe essaye de préserver des feux de brousse. Imaginez juste que là, nous sommes avant la saison des brulis, et les belles herbes jaunes devant, ne demandent qu'à s'enflammer à la première étincelle. L'équipe en question c'est en fait 2 personnes ... Autant dire rien. Et ils doivent entretenir les parefeux qui entourent la forêt, au cas où.

Pas facile dans ces conditions de conserver une forêt intacte ...

22 juillet 2006 6 22 /07 /juillet /2006 07:20

Mi-temps pour le foot.

Vers l'est de Tana, sur la route de Mahajanga, on traverse des espaces désolés qui jadis étaient de belles forêts. Il en reste, des morceaux infimes coincés au fond de ravines difficiles d'accès mais que chaque année disparaissent un peu plus, arbre après arbres au rythme des feux de brousse.

Les couleurs sont belles, assurément, mais le spectacle est triste quand on imagine ce que ces paysages pouvaient être il y quelques décennies.