Des kilomètres de plages, du vent, des vagues, des baleines parfois .... Et une petite fille qui court sur la plage. Et c'est tout.
Ailleurs, quelque part ....
Voyage en photos, loin d'ici ou pas très loin, ça dépend des jours et des envies. Photos disponibles à la demande ... Bon voyage.
Des kilomètres de plages, du vent, des vagues, des baleines parfois .... Et une petite fille qui court sur la plage. Et c'est tout.
Au large de Marseille, le phare le plus connus du monde, jadis ... Il annonçait les portes de l'Europe, jadis encore. Aujourd'hui les portes sont fermées, mais par les fenètres certains arrivent encore à rentrer, sans tomber. D'autres tombent en bas du mur.
Vous aimez Amora ? Ses cornichons, sa moutarde ? Maille également ? Alors imaginons que Unilever décide par souci de rentabilité de sacrifier Amora et Maille, comme cela semble être le cas pour sa marque Elephant (les infusions) ... Et ben ... plus de moutarde dans les supermarchés ! Mince. Bon ça marche avec plein d'autres produits Unilever
Du coup, ben je retourne à l'artisanat et épicerie fine, en espérant qu'il survive aussi dans ce monde globalisé.
"La vida es una tombola", qu'il dit Manu Chao ... Claro, tout le monde n'est pas Maradona.
Ce n'est pas souvent comme cela, alors quand c'est comme ça, on s'arrête et on admire, paisiblement, en attendant la Lune ....
Bientôt l'automne, alors elles vont revenir de Sibérie, immuablement, comme tous les ans. Et se planquer du froid au même endroit, comme tous les ans. Et sans GPS. Plus fortes que n'importe quel taxi parisien ces bernaches !
Désolé, j'aime bien ce dessin
Il y a des images que l'on associe à des paroles, et celle-ci, ce matin, comme un flash, m'a fait penser à la chanson de Barbara.
"Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,
Voilà combien de temps que tu es reparti
Tu m'as dit: "Cette fois, c'est le dernier voyage"
Pour nos coeurs déchirés, c'est le dernier naufrage
"Au printemps, tu verras, je serai de retour
Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris
Et déambulerons dans les rues de Paris!"
REFRAIN:
Dis, quand reviendras-tu?
Dis, au moins le sais-tu
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère...
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus!
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois
À voir Paris si beau en cette fin d'automne
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne
Ton image me hante, je te parle tout bas
Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi
REFRAIN
J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours
J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour
Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir
Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs
Je reprendrai la route, le monde m'émerveille
J'irai me réchauffer à un autre soleil
Je ne suis pas de ceux qui meurent de chagrin
Je n'ai pas la vertu des femmes de marins
REFRAIN
Ce que j'aime ici ? Les deux amoureux sur le banc qui regardent le jour prendre ses droits sur la baie de Diégo, le varatraz qui se met à souffler comme un forcené, et eux qui restent là, à admirer une des plus belles baies du monde.
Oui j'aime cet instant, qui hélas ne dure pas, car bientot le soleil sera trop haut, le jour trop avancé, et le temps reprendra ses droits et balaiera notre droit à la paresse ....
Qui a dit qu'il pleut toujours en Bretagne ? Alors cherchez LE nuage ...
Bon, il faut aussi chercher la mer pour prendre le large, ou bien, être patient .