Il pleuvait fort, sur la grand route , .... (Brassens vol. 1). L'orage passe sur Kribi, mais ici, le parapluie, on s'en passe. Face à la mer, au coucher du soleil, pluie ou pas, ça dérange pas grand monde. Juste on regarde les derniers rayons disparaitres, la nuit venir. Le banc est quand même tristement vide. Dommage.
Parce qu'on aurait pu facilement siffloter la ballade des amoureux qui se bécotent sur les bancs publics (Brassens vol. 2) , mais là ce serait plutôt la supplique pour être enterré à la plage de Sète ... (Brassens vol.9). Retrouvez toute cette atmosphère avec les amis de Georges...