Au fin fond de la forêt, il se promène sur son vélo, bourré à ras bord de tout ce qui peut être utile quand tout est loin à cause de la pluie par exemple qui rend les pistes aussi glissantes qu'une savonnette sur un carrelage immaculé. On ne l'a pas vu le gaillard, mais j'imagine bien qu'il doit avoir un gros sac sur son dos en plus, histoire de rentabiliser les coups de pédales qu'il doit donner.
Ce vélo était superbe en tous cas, il faisait le lien surement entre les gens. Il m'a bien plu.