Quand les tsiganes passent, on ramasse le linge, ou on sert son sac contre soi si on est dans le métro... Qui ne l'a pas fait ... A tort ou à raison d'ailleurs. Jan Yoors, lui, est parti de chez ses parents à 12 ans, et s'est fait adopté par des tsiganes avant la 2eme Guerre Mondiale. Il l'a écrit dans un livre ("Sur la route des Rom Lovara"), introuvable (que j'ai trouvé ) et qui décrit de l'intérieur cette communauté, tant décriée, elle aussi décimée par les nazis. Et beaucoup d'à priori réussissent à tomber à la lecture de ce livre.
En 2011, quelque part en Bretagne, une petite tsigane s'essaie à la vanerie, comme son père. Mais bien sur on peut les stigmatiser, ça ne mange pas de pain, et ça fait du bien à certains. Qu'ils aillent voir le cirque Romanes alors ...