Il en faut quelques uns dans une vie. Celui là en fait partie, celui de ne pas avoir acheté une de ces toiles, qui me parlaient plutôt beaucoup, mais la crainte de devoir dire "whaou, too expensive for me" (ben oui, je ne parle pas portugais), et ben voilà, j'ai laissé ces toiles sur les quais de Belem.
Ceci dit, comme regret, il y a pire.