Il drague, suce, aspire tant qu'il peut, mais à lui tout seul il a quand même du mal à éviter l'inévitable, que le port de Douala ne retourne à la lagune et se transforme en forêt de palétuviers. Bon, c'est évitable, il faudrait juste aspirer encore plus. Ou plus souvent.
Il parait que ce bateau porte le nom d'une femme, mais vu l'activité de ce bateau, ce n'est pas très correcte de le donner ...