Ce nom ne vous dit rien, c'est bien possible, pourtant, si vous passez par Douala, arrétez vous à Bonaberi dans sa boutique à ciel ouvert (ou presque).
Il vous laisse regarder, toucher, sans rien vous imposer. Un vendeur comme j'aime, qui vous laisse tranquille. Si vous voulez des vendeurs plus entreprenant, ce n'est pas là, c'est au marché aux fleurs.
En attendant, Ndam s'en va à la Mecque en octobre, et je suis très heureux pour lui.