Derrière le fleuve, où il reste un peu d'eau, le Tchad, vaguement au loin, derrière l'harmattan qui sévit. Le parc à bensikin est presque pleins, les "frontaliers" ont du partir de l'autre côté. Cela rappelle bien des frontières finalement, sauf que celle-ci a l'air particulièrement poreuse. Pas vu l'ombre d'un képi ou d'un uniforme kaki.