Mi-temps pour le foot.
Vers l'est de Tana, sur la route de Mahajanga, on traverse des espaces désolés qui jadis étaient de belles forêts. Il en reste, des morceaux infimes coincés au fond de ravines difficiles d'accès mais que chaque année disparaissent un peu plus, arbre après arbres au rythme des feux de brousse.
Les couleurs sont belles, assurément, mais le spectacle est triste quand on imagine ce que ces paysages pouvaient être il y quelques décennies.