On oublie parfois le caractère étonnant de cette ville, on s'habitue, à ses nids de poules qui sont plutot parfois des cratères de bombes, ses motos taxis qui pensent à eux, ses taxis tout court qui sont dans un état de délabrement sans nom. Et puis il y a ces marchands d'eau, de l'eau captée quelque part pas loin, remise dans de jolies bouteilles, elles-mêmes remises dans le pack de 6, et le tour est joué, il n'y a plus qu'à vendre cette eau du forage aux vertus pas encore reconnues par l'OMS.
Douala, c'est Douala ...