La guerre continue. Les accords de Libreville sont mis sous le paillasson, et plus personne ne s'inquiète de ce qui se passe par ici. Ah si, les Sud Africains s'intéresseraient aux diamants, d'où la présence de leurs militaires. Bon les militaires français, on sait pas pourquoi ils sont là, pour prendre des coups peut être. Et pendant ce temps, les centrafricains trinquent allègrement.
Heureusement, il y a de beaux monuments pour l'unité nationale et les ONG sont toujours là. Verbatim entendu dans un avion: "Quand tu vois un avion avec écrit dessus "U.N" sur la piste de l'aéroport, dis toi que tu atteris dans un pays mal parti".