Les éléments hostiles, un pêcheur à la ligne paisible, le bleu de la mer, et le blanc de l'écume. Tout cela rendait cette scène un peu particulière. Je suis toujours fasciner par le courage de ces pêcheurs, partir loin, voire même très loin sur des embarcations qui ne tiendraient pas bien longtemps en cas de tempête. Et pourtant, jour après jour, il le faut bien, ils y retournent.
Vers midi, ou le soir, à la fin de la pêche, vous pouvez voir l'horizon se couvrir de pirogues, horizon sur lequel il n'y avait rien 20 minutes avant. C'est vous dire les risques pris en saison cyclonique.