La baie, les filles, reste le vent de Diégo, monumental, soufflant de l’aube au crépuscule, de force 6 à 9, en fonction des jours. « Imaginez le mistral soufflant 6 mois par an » Ben voilà c’est le varatraz, qui transforme la ville, la rend belle pour les véliplanchistes, insupportable pour les autres …
Alors au petit matin, on peut aller voir la baie, près du kiosque à musique, et se préparer à aller baie de Sakalava, 30 minutes de Diégo, où Laurent se fera un plaisir de vous faire plaisir, sous réserve que vous ne soyez pas un « pénible », parce qu’hélas, même baie de Sakalava, il en échoue quelques uns.
Un grand moment de bonheur, pas d'épaves à voir, ni carcasse de voiture, du vent, la mer ...