Après la baie, il y a les filles de Diégo, c’est un commerce, pas vraiment charitable, mais qui s’étalent dans toute la ville, du soir au matin. Récemment, Nicolas Hulot répondait à je ne sais qui sur ce qui le choquait le plus, et il avait répondu, « la vue de mes compatriotes à Diego Suarez, en pleine frénésie de tourisme sexuel ». Il a vu juste ce jour-là. Avec les filles vont les taxis jaunes, de superbes 4L au jaune canarie.
Et lisez donc Nicolas Fargues, « Rade Terminus ». Portraits croisés de personnes vues à Diégo.